La fécondité sociale de la conversion personnelle

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“Ces leçons, écho fidèle du message évangélique, font ressortir de façon saisissante le contraste qui oppose les jugements de Dieu à la vaine sagesse de ce monde. Dans une société qui n’a guère conscience des maux qui la rongent, qui voile ses misères et ses injustices sous des dehors prospères, brillants et insouciants, la Vierge Immaculée, que jamais le péché n’effleura, se manifeste à une enfant innocente. Avec une compassion maternelle, elle parcourt du regard ce monde racheté par le sang de son Fils, où, hélas ! le péché fait chaque jour tant de ravages, et, par trois fois, elle lance son pressant appel : «Pénitence, pénitence, pénitence !» Des gestes expressifs sont même demandés : «Allez baiser la terre en pénitence pour les pécheurs.» Et au geste, il faut joindre la supplication : «Vous prierez Dieu pour les pécheurs.» Ainsi, comme au temps de Jean Baptiste, comme au début du ministère de Jésus, la même injonction, forte et rigoureuse, dicte aux hommes la voie du retour à Dieu : «Repentez-vous !» (Mt 3, 2 ; 4, 17) Et qui oserait dire que cet appel à la conversion du cœur a, de nos jours, perdu de son actualité ?

Mais la Mère de Dieu pourrait-elle venir vers ses enfants, si ce n’est en messagère de pardon et d’espérance ? Déjà l’eau ruisselle à ses pieds : «Vous tous qui avez soif, venez vers les eaux, et vous puiserez le salut dans le Seigneur» (Is 55, 1 ; Pr 8, 35) (17) A cette source, où Bernadette docile est allée la première boire et se laver, afflueront toutes les misères de l’âme et du corps. «J’y suis allé, je me suis lavé et j’ai vu» (Jn 9, 11), pourra répondre, avec l’aveugle de l’Evangile, le pèlerin reconnaissant. Mais, comme pour les foules qui se pressaient autour de Jésus, la guérison des plaies physiques y demeure, en même temps qu’un geste de miséricorde, le signe du pouvoir que le Fils de l’Homme a de remettre les péchés (cf. Mc 2, 10). Auprès de la Grotte bénie, la Vierge nous invite, au nom de son divin Fils, à la conversion du cœur et à l’espérance du pardon. L’écouterons-nous ?

Dans cette humble réponse de l’homme qui se reconnaît pécheur réside la vraie grandeur de cette année jubilaire. Quels bienfaits ne serait-on pas en droit d’en attendre pour l’Eglise, si chaque pèlerin de Lourdes –et même tout chrétien uni de cœur aux célébrations du Centenaire –réalisait d’abord en lui-même cette oeuvre de sanctification, «non pas en paroles et de langue, mais en actes et en vérité !» (1 Jn 3, 18). Tout l’y invite, d’ailleurs, car nulle part peut-être autant qu’à Lourdes on ne se sent à la fois porté à la prière, à l’oubli de soi et à la charité. A voir le dévouement des brancardiers et la paix sereine des malades, à constater la fraternité qui rassemble dans une même invocation des fidèles de toute origine, à observer la spontanéité de l’entraide et la ferveur sans affectation des pèlerins agenouillés devant la Grotte, les meilleurs sont saisis par l’attrait d’une vie plus totalement donnée au service de Dieu et de leurs frères, les moins fervents prennent conscience de leur tiédeur et retrouvent le chemin de la prière, les pécheurs plus endurcis et les incrédules eux-mêmes sont souvent touchés par la grâce ou du moins, s’ils sont loyaux, ils ne restent pas insensibles au témoignage de cette «multitude de croyants n’ayant qu’un cœur et qu’une âme». (Ac 4, 32) (…)

Mais, pour primordiale qu’elle soit, la conversion individuelle du pèlerin ne saurait ici suffire. En cette année jubilaire, Nous vous exhortons, chers Fils et Vénérables Frères, à susciter parmi les fidèles commis à vos soins un effort collectif de renouveau chrétien de la société, en réponse à l’appel de Marie : «Que les esprits aveuglés… soient illuminés par la lumière de la vérité et de la justice, demandait déjà Pie XI lors des fêtes mariales du Jubilé de la Rédemption ; que ceux qui s’égarent dans l’erreur soient ramenés dans le droit chemin ; qu’une juste liberté soit partout accordée à l’Eglise, et qu’une ère de concorde et de vraie prospérité se lève sur tous les peuples».”

 

Pie XII, Lettre sur le pèlerinage de Lourdes pour le jubilé du centenaire des apparitions (1957)

25 commentaires sur “La fécondité sociale de la conversion personnelle
  1. Espérance dit :

    « Que soy era Immaculata Councepciou »
    « Je suis l’Immaculée Conception »

    « La Vierge Immaculée, que jamais le péché n’effleura,
    se manifeste à une enfant innocente…
    … « Pénitence, pénitence, pénitence !…» »
    Pie XII

    « JESUS doit régner
    dans mon cœur;
    dans mon esprit;
    dans ma volonté,
    enfin dans mon âme toute entière. »

    « J’ai espéré en Vous, SEIGNEUR.
    Soyez ma maison de refuge,
    car Vous êtes ma force…
    Vous me rachetez,
    SEIGNEUR, DIEU de VERITE. »

    « O JESUS, donnez-moi, je vous prie,
    le pain de l’humilité, le pain d’obéissance,
    le pain de charité, le pain de force
    pour rompre ma volonté et la fondre à la Votre,
    le pain de mortification intérieure,
    le pain de détachement des créatures,
    le pain de patience
    pour supporter les peines
    que mon cœur souffre. »

    Bernadette Soubirous

  2. Espérance dit :

    « Auprès de la Grotte bénie, la VIERGE nous invite,
    au nom de son divin FILS,
    à la CONVERSION du CŒUR et à l’ESPERANCE du PARDON.
    L’écouterons-nous? »
    Pie XII

    «Que les esprits aveuglés… soient illuminés par la lumière
    de la VERITE et de la JUSTICE,…;
    que ceux qui s’égarent dans l’erreur soient ramenés
    dans le droit chemin;
    qu’une juste liberté soit partout accordée à l’EGLISE,
    et qu’une ère de concorde et de vraie prospérité
    se lève sur tous les peuples».
    Pie XI

    « DIEU est à l’écoute.
    Encore faut-il que nous LUI parlions,
    que nous L’appelions,
    que nous LUI demandions de l’aide.
    Le croyant est celui qui se tourne vers DIEU
    en toute CONFIANCE. »

    Prions en Eglise

    • Espérance dit :

      « En ces jours-là,
      la reine Esther, dans l’angoisse mortelle qui l’étreignait,
      chercha REFUGE auprès du SEIGNEUR.
      Se prosternant à terre avec ses servantes du matin jusqu’au soir,
      elle disait :
      « DIEU d’Abraham, DIEU d’Isaac, DIEU de Jacob,
      TU ES BENI.
      Viens à mon secours car je suis seule,
      et je n’ai pas d’autre défenseur que Toi, SEIGNEUR.
      Car je vais jouer avec le danger.

      Dans les livres de mes ancêtres, SEIGNEUR,
      j’ai appris que ceux qui Te plaisent,
      tu les libères pour toujours, SEIGNEUR.
      Et maintenant, AIDE-MOI, car je suis solitaire
      et je n’ai que Toi, SEIGNEUR mon DIEU.

      Maintenant, viens me secourir car je suis orpheline,
      et mets sur mes lèvres un langage harmonieux
      quand je serai en présence de ce lion;
      fais que je trouve grâce devant lui,
      et change son cœur:
      qu’il se mette à détester celui qui nous combat,
      qu’il le détruise avec tous ses partisans.

      Et nous, LIBERE-NOUS DE LA MAIN DE NOS ENNEMIS;
      rends-nous la JOIE après la détresse
      et le BIEN-ETRE après la souffrance. »

      Lecture du livre d’Esther 4:17
      « Je n’ai pas d’autre secours que Toi, SEIGNEUR »

      • Espérance dit :

        « JE N’AI QUE TOI, SEIGNEUR »

        Malgré les siècles qui nous séparent,
        la PRIERE d’Esther reste profondément émouvante.
        Consciente de jouer sa vie dans son entrevue avec le roi Assuerus,
        elle inscrit sa prière dans la grande tradition de ceux qui,
        à travers les âges, intercèdent auprès du MISERICORDIEUX
        en faveur de leurs semblables. Abraham, Moise, JESUS…

        Pour sauver son peuple,
        la reine ne songe pas un instant à jouer de ses charmes.
        Son espérance repose uniquement sur DIEU:
        « Je suis solitaire et je n’ai que TOI, SEIGNEUR mon DIEU. »
        Cet acte de CONFIANCE éperdue
        préfigure l’ABANDON filial du CHRIST
        entre les mains du PERE aux jours de Sa PASSION. »

        Sœur Bénédicte de la Croix
        Prions en Eglise

        • Espérance dit :

          QUAND JE CRIE VERS TOI, SEIGNEUR,
          TU REPONDS A MON APPEL.

          « De tout mon cœur, SEIGNEUR, je Te rends GRACE:
          Tu as entendu les paroles de ma bouche.
          Je Te chante en présence des anges,
          vers Ton temple sacré, je me prosterne.

          Je rends GRACE à TON NOM pour Ton amour et Ta vérité,
          car Tu élèves, au- dessus de tout, Ton nom et Ta parole.
          Le jour où Tu répondis à mon appel,
          Tu fis grandir en mon âme la FORCE.

          Ta droite me rend vainqueur.
          Le SEIGNEUR fait tout pour moi!
          SEIGNEUR, éternel est TON AMOUR:
          n’arrête pas l’œuvre de tes mains. »

          Psaume:137 (138)

          • Espérance dit :

            « Gloire et louange à Toi, SEIGNEUR JESUS! »

            Crée en moi un CŒUR PUR, ô mon DIEU;
            rends-moi la joie d’être sauvé.

            « Gloire et louange à Toi, SEIGNEUR JESUS! »

            Psaume 50:12a,14a

  3. colombe dit :

    Mère des douleurs a LOURDES, a la SALETTE ou encore en tant d’autres endroits son message est celui d’une maman qui souffre pour ses enfants .A la SALETTE Marie déplore le refus du peuple de DIEU de se soumettre à JÉSUS-CHRIST par l’ abandon du Dimanche et le mépris du nom de son Fils dans notre société.Combien de fois de par le monde elle nous invite a faire pénitence. A Lourdes elle insistera … Ce mot pénitence interpelle certains a le mette en pratique, d’autres l’ignorent, d’autres encore ne comprennent pas vraiment le sens de ce message donné par le ciel: pourquoi la conversion des cœurs puisque on peut vivre sans DIEU et pendant ce temps s’ installe le péché et toutes ses conséquences.Notre France n’ est pas épargnée au sein même de nos familles .Prions pour que nos cœurs s’ouvrent a la réalité des messages donnés par MARIE et ne restons pas inactifs ni endormis. Soyons des porteurs d’évangile en parole et en acte en devenant de vrais soldats du Christ pour la gloire de DIEU et le salut du monde.

    • Espérance dit :

      « Celui qui demande, reçoit;
      celui qui cherche, trouve;
      et à celui qui frappe, on ouvrira. »
      Saint Matthieu 7:8

      « Accueille ma prière, SEIGNEUR,
      comprends ma plainte.
      Entends ma voix qui T’appelle,
      O mon ROI et mon DIEU. »
      Psaume 5:2-3.

      Prions en Eglise

    • SYLVIE dit :

      Je ne dois pas être douée en porteuse d’évangile avec mon fils! Depuis sa Confirmation, il ne veut plus entendre parler RELIGION et il est pourtant en terminal dans un Établissement Catholique! Est ce une façon d’exprimer sa colère face à l’abandon de son père et notre vie difficile? Je me le demande

      • Chenaux Patric dit :

        Il est clair que l’abandon de son père doit perturber votre fils. Il exprime certainement une révolte. Il vous suffit de l’aimer et de rester à son écoute et de vous intéresser à lui. Inutile de le forcer, de le culpabiliser. Il vous faut prendre l’Exemple de sainte Monique. Elle a patienté et a beaucoup prié pour son fils qui devint le grand saint Augustin. N’hésitez pas à prier donc, prier avec foi et persévérance.
        Vous n’êtes pas la seule dans cette situation. Tous nos enfants ne marchent pas forcément avec le Seigneur. Alors il faut rester en paix, supporter cette épreuve, l’offrir à la Sainte Vierge. Et avoir confiance en la bonté et la justice de Dieu. Soyez assurée de mes prières pour vous Sylvie. Priez aussi pour moi. Merci.

        • SYLVIE dit :

          Merci Cher Patric pour votre beau commentaire d’encouragement et vos prières. Je prie pour vous aussi depuis le début car nous souffrons de la même maladie de SPA.

          • Chenaux Patric dit :

            Merci pour vos prières. Ainsi vous souffrez aussi de la SPA, j’espère que vous êtes bien soignée et que vous supportez les traitements. Nous voilà donc unis par la foi et par la même maladie. Restons en contact et en union de prières. Dieu vous bénisse.

      • colombe dit :

        Sylvie, nous ne sommes pas prophètes dans notre pays JÉSUS ne l’était pas non plus.Le problème avec votre enfant ne vient pas de vous .Mais surtout d’un ensemble de choses qui bloque les jeunes actuellement.Je comprends votre tristesse et il n’y a plus que l’abandon et la prière qui vous aideront a rester forte et debout.Donner votre fils a MARIE elle veillera sur lui et un jour elle le ramènera a son fils JESUS .Croyez le.Votre vie est difficile certes mais la aussi DIEU qui voit tout se révélera un jour. Pour l’instant il vous porte mais vous êtes peut être trop fatiguée pour le sentir.Restez forte de lui en vous abandonnant sur son cœur.Et surtout avancez et ne vous retournez pas même a petit pas . Le Sauveur est patient .Bon courage a vous amie de la Neuvaine .Je pense a vous dans la plus belle prière qui soit,a savoir la sainte messe.

        • SYLVIE dit :

          Ô, votre beau message me touche infiniment Chère Colombe! Je prie pour vous aussi ! MERCI

          • SYLVIE dit :

            J’oublie d’ajouter que je remercie Dieu chaque jour d’obtenir l’aide de mes parents chéris. Grace à eux, mon Cher fils va pouvoir faire des études de médecine dès la rentrée. Il reçoit tout notre amour et notre attention. Comme le dit si bien Patric, je ne suis pas helas la seule à vivre cette situation.

  4. Chenaux Patric dit :

    “Pénitence, pénitence, pénitence” c’est le message de la Sainte Vierge à Lourdes. Pas besoin de chercher d’autres révélations, ailleurs. Celle-ci suffit. Oh, je sais, un catholique n’a pas l’obligation de croire une révélation privée. Pourtant, le catholique ne devrait pas l’ignorer ou le mépriser. Le Pape Pie XII a pris ce message très au sérieux. D’autant plus que le message de Lourdes n’est pas compliqué, il est simple, évangélique et prophétique, de ce fait le chrétien ferait bien d’y croire.
    Le message de l’Immaculée Conception donné à Lourdes est simple. Par trois fois, celle qui n’a jamais péché, nous appelle à la pénitence. C’est un appel trinitaire. Cet appel nous renvoie au sacrement “destiné à ceux qui, après le baptême, se sont écartés du chemin de vie, opère le pardon et la réconciliation” (Catéchisme des Évêques de France). On ne saurait être plus simple.
    Le message de la Dame est évangélique. Il nous ramène directement aux Evangiles, à l’oeuvre de Jésus. Il nous rappelle l’amour du Père qui a envoyé son Fils qui avait la plénitude de l’Esprit Saint sur lui. S’il peut y avoir pénitence, c’est parce que Jésus a tout accompli. Il a accompli la loi et les prophètes, le ciel est ouvert, la colère de Dieu est apaisée envers le pécheur qui, grâce à la croix, reçoit le pardon et la reconciliation.
    Le message de Marie est prophétique en ce sens que comme les prophètes envers Israël, il nous appelle, encore aujourd’hui à nous détourner du péché à chercher en Dieu le pardon, à être réconcilié. Alors si cela concerne tout les catholiques de France, l’appel prophétique, – qui entend bien que si l’on ne fait pas pénitence, le jugement de Dieu tombera certainement -, l’appel à la pénitence concerne tous les français.
    La pénitence, nous avons dit, renvoie au sacrement. Pourquoi? Parce que le prêtre est le “ministre du Christ qui accueille et guérit. Il en appelle à Dieu le Père, qui a réalisé l’oeuvre de notre salut par le Christ et l’Esprit Saint, et, agissant par le pouvoir qu’il tient du Christ, il prononce et communique l’absolution personnelle: “Que Dieu notre Père vous montre sa miséricorde; par la mort et la résurrection de son Fils, il a réconcilié le monde avec lui et il a envoyé l’Esprit Saint pour la rémission des péchés: par le ministère de l’Eglise, qu’il vous donne le pardon et la paix. Et moi, au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit, je vous pardonne tous vos péchés.” (Ibid).
    La pénitence n’est donc pas en dehors de l’Eglise et du ministère du prêtre. Il ne s’agit pas d’un sentiment de culpabilité qu’on essairait d’Apaiser en nous jetant à corps perdu dans les oeuvres sociales. Il ne suffit pas de faire un gros chèque pour retrouver la paix avec Dieu, avec soi, avec les autres. Pour que ce soit une véritable pénitence il faut certaines dispositions. Ces disposopitions ou actes “sont constitutifs du sacrement et résument ce que l’Eglise a toujours demandé au pécheur qui se convertit.” (Ibid).
    Afin que la pénitence ne soit pas un acte formel, une routine, le résultat d’un sentimentalisme à l’eau de rose, il faut que le penitent ait la contrition. La contrition est le regret. “Le pécheur doit être lucide et reconnaître qu’il a mal agi, qu’il a blessé l’amour de Dieu et des autres, qu’il a fait du tort à l’Eglise et à la communauté humaine.” (Ibid). Vous me direz que ce n’est pas gagné, car aujourd’hui on se cherche constament des excuses et ont à la fâcheuse manie de rejeter la faute sur les autres: “Ce n’est pas de ma faute, mais celle de la société, de mes parents, de mon mari, de ma femme, de mon patron, du gouvernement, etc.” Mais cela a toujours existé. Voyez dès qu’Adam et Eve ont péché, notre père dit que c’est la faute d’Eve et Eve du Serpent, ce dernier, eh bien… La contrition c’est se reconnaître pécheur sans chercher à se justifier, sans accuser l’autre.
    “La contrition engendre logiquement chez le pécheur la volonté de changer sa manière de penser et de vivre, et celle de réparer les dommages commis chez les autres ou en soi-même. Cette réparation est appelée traditionnellement la “satisfaction” ou encore la “pénitence”. (Ibid).
    L’appel de Lourdes, nous le comprenons est bien un appel urgent, toujours actuel, à une vraie conversion individuelle. Mais pas seulement. L’appel du Pape Pie XII a “un effort collectif de renouveau chrétien de la société” demeure d’une actualité brûlante. Comment faire? Notre Neuvaine va, je le pense, nous aider à trouver des solutions efficaces et… durables, que nous pourrons appliquer tout autour de nous.

    • Espérance dit :

      « Inspire-nous, SEIGNEUR,
      de toujours concevoir ce qui est juste
      et de l’accomplir avec empressement;
      sans Toi nous ne pouvons pas exister,
      fais-nous vivre en accord avec Toi.
      Par JESUS-CHRIST notre-SEIGNEUR. »
      Amen

      Prions en Eglise

    • SYLVIE dit :

      Patric, que votre magnifique commentaire soit lu et compris de tous! MERCI

    • SYLVIE dit :

      Patric, je ne parviens pas à repondre à votre message plus haut. Oui nous sommes en effet unis dans la prière et dans la même maladie, pas facile à etre soignée car je n’ai pas droit aux anti inflammatoires ni aux anti TNF ALPHA. Je prie pour que vous soyez bien soigné et soulagé.

      • Chenaux Patric dit :

        Vous n’avez pas le droit à ces traitements-là? comme vous devez souffrir. Je suis de tout coeur avec vous. Je connais un jeune homme qui, comme vous n’a droit à aucun de ces traitements. Pour ma part, je suis bien soigné, si j’ai droit au Remicade, mon corps lui résiste, il réagit mal aux traitements. Soyons en union de prières. Si vous voulez qu’on parle detemps en temps en privé, vous pouvez me le dire. Bonne journée que Dieu vous bénisse et que Notre Dame des Sept douleurs vous soulage.

        • SYLVIE dit :

          Merci infiniment Patric, je veux bien volontiers que nous puissions en parler en privé, mais où puis je vous laisser mon adresse mail?je prie egalement pour que votre corps parvienne à suivre les traitements ! Bonne soirée à vous

          • Chenaux Patric dit :

            Alors, oui, je n’avais pas lu ce dernier commentaire. Le plus simple, je vous donne mon adresse mail:

            samuru.japon@gmail.com

            Voilà comme cela vous pouvez m’écrire. Bonne journée.