8 eme Jour : Le cœur de la Vierge Marie, chef d’œuvre du Très « À la fin, mon Cœur Immaculé triomphera. »
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Le Seigneur, notre Sauveur éleva la voix et dit, avec une incomparable majesté : « Tous doivent savoir qu’après l’épreuve, vient la grâce ; connaître que, sans le poids des afflictions, on ne peut parvenir au sommet de la grâce ; comprendre que la mesure des charismes augmente avec l’accroissement des peines.
Les hommes doivent se garder d’errer ou de se tromper.
C’est la seule véritable échelle du paradis, et hors de la croix on ne trouve pas de chemin pour monter au ciel ».
Lorsque j’entendis ces paroles, un élan très fort m’emporta, comme pour me faire venir au milieu de la rue, afin que je dise, avec de grands cris, à tous les gens de tout âge, sexe et condition : « Ecoutez, peuples, écoutez tout le monde.
Sur l’ordre du Christ, en employant les paroles sorties de sa bouche, je vous en avertis : nous ne pourrons acquérir la grâce si nous ne souffrons pas d’afflictions ; il faut que les peines s’accumulent les unes sur les autres pour obtenir de participer intimement à la nature divine, à la gloire des fils de Dieu, à la parfaite félicité de l’âme »…
« Si les mortels pouvaient connaître l’importance de la grâce divine, combien elle est belle, noble et précieuse ; combien de richesses elle recèle, combien de trésors, d’allégresse et de délices !
Sans aucun doute ils s’appliqueraient de toute leur activité et de tous leurs soins, à se procurer des peines et des afflictions !
Tous, à travers le monde, rechercheraient, au lieu de richesses, des ennuis, des maladies et des tourments pour acquérir l’inestimable trésor de la grâce. C’est là le butin et le profit ultime de la patience.
Personne ne se plaindrait de la croix, ni des peines qui pourraient lui advenir, si l’on connaissait la balance où elles sont pesées pour la rétribution des hommes ». (Ste Rose de Lima)
Prière : Seigneur, devant ta Passion et les souffrances de ta Mère douloureuse, tout sentiment devient impossible si ce n’est celui d’une souffrance que les mots ne peuvent rendre.
Et cependant quand la croix s’invite dans ma vie, au lieu de l’embrasser, de la serrer contre mon cœur en méditant les souffrances de ta passion et de ta mort sur la croix, je gémis, je renâcle comme si une injustice m’était faite.
J’en oublie même tes paroles qui nous assurent qu’on ne peut être tes disciples si l’on ne prend sa croix chaque jour.
Seigneur apprends-moi à aimer la souffrance non pour elle-même, car elle est un mal en soi, mais pour ce qu’elle produit : l’humilité, la patience, la douceur quand elle est acceptée et offerte et parce qu’elle nous unit intimement à Toi et à ta Sainte Mère qui avaient souffert pour le salut de tous.
Fais qu’ainsi j’achève, pour ma part, une part bien petite, ce qui manque encore à Tes souffrances pour ton corps, qui est l’Eglise. Amen.
Abbé Philippe Nahan
Un notre Père, un Je vous salue Marie, un Gloire au Père (ou une dizaine de chapelet) suivi des invocations : Cœur Sacré de Jésus, j’ai confiance en vous. Cœur Immaculé de Marie, priez pour nous.
Prière à Marie de Jean Paul II
Je te salue Marie, Femme pauvre et humble, bénie du Très-Haut ! Vierge de l’espérance, prophétie des temps nouveaux, nous nous associons à ton hymne de louange pour célébrer les miséricordes du Seigneur, pour annoncer la venue du Règne et la libération totale de l’homme.
Je te salue Marie, humble servante du Seigneur, glorieuse Mère du Christ ! Vierge fidèle, sainte demeure du Verbe, enseigne-nous à persévérer dans l’écoute de la Parole, à être dociles à la voix de l’Esprit, attentifs à ses appels dans l’intimité de notre conscience et à ses manifestations dans les événements de l’histoire.
Je te salue Marie, Femme de douleur, Mère des vivants ! Vierge épouse auprès de la Croix, nouvelle Ève, sois notre guide sur les routes du monde, enseigne-nous à vivre et à répandre l’amour du Christ, enseigne-nous à demeurer avec Toi auprès des innombrables croix sur lesquelles ton Fils est encore crucifié.
Je te salue Marie, Femme de foi, première entre les disciples ! Vierge, Mère de l’Église, aide-nous à rendre toujours compte de l’espérance qui est en nous, ayant confiance en la bonté de l’homme et en l’amour du Père. Enseigne-nous à construire le monde, de l’intérieur : dans la profondeur du silence et de l’oraison, dans la joie de l’amour fraternel, dans la fécondité irremplaçable de la Croix.
Sainte Marie, Mère des croyants, Notre-Dame de Lourdes, prie pour nous.
Seigneur nous vous offrons les mérites de MARIE votre mère au pied de la croix pour apaiser votre divine justice.Les apôtres pleins de tristesse pleuraient le trépas de Jésus.Ainsi sera connu le mystère qui nous fait vivre .Les apôtres témoins privilégies choisis pour voir le Christ ressuscité ont reçu la mission de faire connaitre qu’il était vivant.Il l’ont fait.Ils ont préféré les persécutions et la mort. Mais le temps pascal est d’un bout à l’autre une période de joie .Ce ne n’est plus le moment de faire pénitence .les vêtements liturgique sont blancs couleur de la joie et de la pureté.Oui il est vivant et ressuscité.Amen ALLÉLUIA
« Vivre d’amour,ce n’est pas sur la terre
Fixer sa tente au sommet du Thabor.
Avec Jésus,c’est gravir le Calvaire,
C’est regarder la croix comme un trésor! »
Très bon dimanche de la Divine Miséricorde à tous!