On raconte qu’à l’approche des Prussiens, en 1870, quelques personnes effrayées rendirent visite à Sainte Bernadette Soubirous, retirée dans son couvent de Nevers, afin de recueillir d’elle confidences et réconfort. La Sainte Vierge aurait-elle dit quelque chose à Lourdes, au sujet de ces fameux Prussiens ? « Craignez-vous les Prussiens ? », lui aurait-on demandé. Il semblerait que sa réponse fût simple et lapidaire : « Je ne crains pas les Prussiens, je ne crains que les mauvais catholiques ».
Sans sombrer dans le pessimisme, avouons que la tiédeur de certains croyants, le manque de cohérence (dans les discours et dans les œuvres) de quelques autres, et leurs impardonnables abstentions peuvent être considérées comme une cause des malheurs qui frappent nos sociétés. « Ces crises mondiales sont des crises de saints », disait saint Josémaria Escriva.
Mais revenons 2000 ans plus tôt : qu’étaient les premiers chrétiens ? Pour la plupart, des hommes et des femmes inconnus, sans pouvoir, sans moyen. Mais ce sont eux qui ont évangélisé l’Europe, et ensuite le monde ! A nous d’actualiser ces époques !
Imaginons un instant que tous les catholiques de notre pays soient portés par la ferveur de la prière quotidienne et la fréquentation des sacrements de l’Église. Imaginons-les au service de l’éducation, du dialogue, de la paix et de l’harmonie dans les relations humaines. Imaginons-les au service des plus démunis, des personnes fragiles. Imaginons qu’ils soient fidèles à ce commandement toujours nouveau du Seigneur : « Je vous donne un commandement nouveau : c’est de vous aimer les uns les autres. Comme je vous ai aimés, vous aussi aimez-vous les uns les autres.À ceci, tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples » (Jn 13,34).
Les statistiques disent que les catholiques représenteraient environ 60% de la population française. Cette variété que l’on entrevoit derrière ce chiffre constitue sans doute un espoir. Ce n’est évidemment pas en termes de pouvoir, d’engagement politique ou de militantisme que tous doivent agir. C’est d’abord sur le plan spirituel que nous devons nous réveiller.
« Quand deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis au milieu d’eux » dit le Seigneur dans l’évangile. La très belle prière que nous propose cette neuvaine est sans doute le plus beau service que nous pouvons rendre à notre pays. Prions pour nos dirigeants, nos voisins, nos amis… mais prions en famille, ou entre amis, pour que le Seigneur nous écoute et nous inspire.
Appelés à être saints, nous le sommes également à être apôtres, à être semeurs de paix et de joie partout où nous sommes, au travail ou en famille.
Si nous sommes convaincus que nos proches, ceux que nous aimons, ont besoin de connaître le message du Christ, il nous sera facile de leur parler et de leur annoncer la bonne nouvelle.
Dans l’élan de prière qui est le nôtre à l’occasion de cette neuvaine pour notre pays, confions à la Sainte Vierge le réveil spirituel de tant et tant de baptisés.
Ainsi que le dit Saint Josémaria dans Sillon : « Le Christ a besoin d’anticonformistes, de rebelles de l’Amour ! »
Mgr Antoine de Rochebrune est le Vicaire de la prélature de l’Opus Dei en France depuis 1999. Né en 1964 et ingénieur de formation, il a été ordonné prêtre en 1995. Il est docteur en théologie dogmatique (Université Pontificale de la Sainte Croix).
Amen, belle méditation…
Si nous voulons voir changer les choses, il faut commencer par nous-mêmes: « le jugement vient d’abord sur l’Eglise ». Les paroles sévères de Jésus concernant les mauvais chrétiens dans les Evangiles et dans tout le reste de la Bible, devraient nous pousser à rechercher sa face, à faire sa volonté. Quelle est cette volonté? Elle est simple: aimer Dieu et aimer son prochain comme soi-même, en d’autres termes: « Soyez parfaits comme votre Père céleste est Parfait ».
En recherchant de tout notre coeur la sainteté, avec tout ce que cela implique, particulierement, une charité vécue entre nous et avec tous, nous allons déjà donner au monde – ce monde qui vit un sentimentalisme écoeurant -un témoignage remarquable. Il nous faut aussi nous former, connaître notre religion vraie et sainte, connaître la Bible aussi, afin de pouvoir annoncer cette Parole. Les oeuvres de charité sont nécessaires, mais il nous faut aussi des hommes et des femmes qui annoncent à tous, la Bonne Nouvelle « car comment croiront-ils, s’ils n’ont pas entendu » (Saint Paul), « le péché est entré par les yeux, le salut par les oreilles » (Saint Bernard).
Oh, je ne dis pas que c’est facile, car les gens de notre temps n’écoutent plus les conseils, chacun sa vérité. Mais cela ne doit pas nous empêcher d’annoncer la Parole de Vie.
Soyons de bons catholiques, et pour cela méditons sur nos priorités. Pourquoi avons-nous été rachetés à si grand prix, par la Croix de Notre Seigneur Jésus Christ? Pour vivre une petite vie pépère tournée sur nous-mêmes, notre famille, les vacances, les loisirs, le travail et basta? Ou alors pour nous plaindre sur nous-mêmes, nos misères, notre maladie (et je souffre d’une sévère spondylarthrite ankylosante), nos manques de moyens financiers, le chômage, pleurer sur le passé? Tout cela nous devons l’offrir à Dieu et prier la Sainte Vierge qui a de grandes grâces à donner. Nous avons été sauvés, c’est pour vivre et dire l’amour du Seigneur en appelant les hommes, les femmes à la repetance. Mais qui, comment, où? Oh ne nous inquiétons pas, si nous nous réveillons et decidons de témoigner, le Seigneur nous en donnera l’occasion car « c’est aujourd’hui le jour du salut ».
Chers frères et sœurs de la neuvaine nous sommes une grande armée tous unis aux pieds de la croix de notre Sauveur. Alors restons courageux jusqu’au bout et avançons avec le chapelet dans la main.Paix mes brebis paix.Il est avec nous tous les jours de notre vie . C’ est lui qui nous la dit.
Merci pour cette méditation et merci pour tout, chers organisateurs de la Neuvaine.
« Dans l’élan de prière qui est le nôtre à l’occasion de cette neuvaine pour notre pays, confions à la Sainte Vierge le réveil spirituel de tant et tant de baptisés », confions-lui aussi la prochaine phase du synode sur la famille. Notre-Dame de Lourdes, Notre-Dame de Fatima, priez pour nous, intercédez pour nous, protégez-nous. Amen.
Dans le texte : La Sainte Vierge aurait-elle dit quelque chose à Lourdes, au sujet de ces fameux Prussiens ? « Craignez-vous les Prussiens ? », lui aurait-on demandé. Il semblerait que sa réponse fût simple et lapidaire : « Je ne crains pas les Prussiens, je ne crains que les mauvais catholiques ».
Implorons l’Esprit Saint et la Vierge de nous guider + + +
Nos gouvernants ont bien besoin d’être conseillés et guidés pour ramener le calme dans les esprits mis à mal par des mesures dites sociétales mais qui ont jeté un grand trouble et beaucoup de confusion. que l’Esprit Saint puisse atteindre leur conscience. En union de prière.
Merci Père de votre exhortation à l’évangélisation, au témoignage de Jésus dans notre coeur ! C’est à cela que nous appelle Marie dans ses messages de Medjugorge.
Amen ! merci pour votre texte
d’accord avec sainte Bernadette! nous sommes souvent mesquins!et peu ouverts aux autres!essayons de suivre l’idée de mgr de Rochebrune
Revenant d’un pélérinage diocésain à Lourdes comme hospitalière, je suis en admiration devant ces nombreux catholiques qui viennent se recueillir devant la grotte pour prier Marie. Que de bons souvenirs, des sourires, des rencontres merveilleuses de partage, de joie dans le sanctuaire. La foi dans ce lieu, est tellement vivante! Je reviens avec l’espoir que la neuvaine à Marie porte des fruits et merci, mon Père, pour votre commentaire si vrai.
Notre Dame de Lourdes Priez pour la France
Ce qui est semé un jour dans le cœur des enfants va germer tôt ou tard dans la vie lors des épreuves ou de la fondation d’une famille. N’ayez crainte, il faut témoigner et prier pour nos enfants, prier avec eux, prier pour les enfants du catéchisme que nous avons en charge pour qu’ à l’avenir ils ne soient jamais séparés du Seigneur.
La Vierge Marie est une mère attentive qui ne veut qu’aucun de ses enfants ne se perde.
Le Prêche d’un prêtre alors que je me trouvais par hasard à une messe en l’église de Conques m’a confortée dans mes pensées quand on est croyant ce n’est pas dur d’être chrétien si bien sûr on s’efforce d’aimer son prochain « plus » que soi-même .Ce n’est pas toujours facile mais quel bonheur lorsque l’on a pardonné!!
La Foi est une immense chance.Comme nous le disait St Jean Paul 11
AYONS CONFIANCE.
Nous sommes des êtres de chair et avec nous nous trainons le péché qui nous enlise de plus en plus.Bienheureux le petit nombre qui restera pour la venue de notre DIEU. Soyons de ceux-la et gardons une ferme espérance. Que nos peurs se jettent aux pieds de MARIE puisque le mal la craint elle la toute belle la toute pure, si bafouée, si méprisée.Être catholique ce n’est pas facile, mais si nous rencontrons des personnes d’autres confessions il suffit de demander l’aide de l’Esprit Saint, de Marie et de notre ange gardien.Et soyons assures d’être protégés. Si chaque catholique priait le monde serait renouvelé.Restons dans cette attente et croyons que DIEU est avec nous qu’il est tout puissant,et restons fiers d’être catholiques.Relevez la tête et respirez a fond le sacrement de votre baptême suivi d’autres sacrements qui nous soudent de plus en plus vers notre DIEU.Bon courage amis de la neuvaine nous tous nous formons un chapelet géant que MARIE a plaisir a tenir dans sa main, n’en doutons pas..
Formidable idée que cette neuvaine : cela va nous aider à prendre nos responsabilités !
J’aime bien ce passage : être « semeurs de paix et de joie », chacun dans son coin, et la face du monde changera !!
Revenant d’un pélérinage diocésain à Lourdes comme hospitalière, je suis en admiration
devant ces nombreux catholiques français qui viennent se recueillir devant la grotte pour prier Marie. Que de sourires, de rencontres merveilleuses de joie dans le sanctuaire et de patience avec les malades.La foi, dans ce lieu est vraiment vivante. Que ça fait du bien! Je reviens,avec l’espoir que la neuvaine à Marie porte beaucoup de fruits, merci, mon père pour votre témoignage si vrai.
Notre Dame de Lourdes Priez pour la France
réponse à Nicole « ce que je peux faire n’est que goutte d’eau » : « la mer est constituée de milliards de gouttes » répondait mère Theresa.
Semons et confions le reste à l’Esprit saint.
Notre Curé avait « fait sa Communion » puis tout laissé tomber, à quinze ans il a senti le vide de sa vie et partit en recherche pour le combler.
Foi, Espérance et Charité soutenues par Prière, pénitence et Eucharistie.
Sinon les bras nous tombent : seul(e) on n’ai vraiment pas grand chose.
Il est difficile d être catholique dans notre monde hier et encore plus aujourd’hui La recherche d une vie confortable nous oblige à nous conforter dans des biens matériels qui nous éloignentt de Dieu. Nous passons notre temps à la recherche du dernier gadget à la mode ce qui nous fait passer du temps à la recherche de finances pour l obtenir rapidement. Et nos enfants font de même.
Mais l amour de Dieu est gratuit – dans le sens où il ne s achète pas . Cela est si simple et si évident que cela devient difficile à croire
les catholiques sont souvent catalogués comme étant des hypocrites ou des coincés ou des personnes trop » bcbg »
D autres paraiisent si inaccessibles dans leur pratique de la foi qu ils font peur …
pour être catholique il faut du courage Il faut savoir combattre une image négative que donnent souvent des médias qui ont l esprit de division
etre catholique c est ne plus oublier la prière, ne plus oubier de pardoner, ne pus oublier d aller vers l autre pour l aider ou tout simplement lui parler.
craindre les mauvais catholiques c est se poser des questions, se rappeler l humilité de notre très Sainte Mère de Dieu
laissons Jésus entrer dans nos coeurs et y faire sa demeure Il nous guidera et Marie nous aidera
Il est difficile d être catholique fdans notre monde hier encore plus aujou
Oui, il et difficile d’être catholiques dans un monde où règne l’Ennemi sous beaucoup d’aspects, tout autour de l’Eglise, voulant la détruire, et hélas, contribuant aussi beaucoup à la détruire, à l’intérieur, y compris dans les hautes sphères.
Il y a eu mai 68 et les idéologies marxistes qui ont amené les chrétiens à ne plus oser se dire chrétiens, se cacher et peu à peu à perdre la foi.
Ceci fait que, dans nos campagnes, beaucoup de villages sont déchristianisés, les enfants ne vont au caté qu’en petit nombre et parmi eux, ceux qui vont à la messe sont rares.
Il faut dire aussi que, même les messes dites « des familles » ne participent pas beaucoup à les faire rencontrer Jésus avec le coeur. Et dans les catés, la rencontre de coeur n’est pas très fréquente ou très insuffisante.
Par ailleurs, les parents athées ou non pratiquants n’emmènent pas leurs enfants à la messe à plusieurs kilomètres, il y a les grasses matinées et le fait que, n’y restant pas, c’est une grande corvée d’emmener les enfants et aller les rechercher une heure plus tard. Ils ne se sentent pas concernés pour eux-mêmes, la messe est sans doute selon eux pour quelques attardés… On envoie quand même un peu les enfants au caté à cause de la grand-mère qui y croit et parce qu’il y a l’émotion des enfants en aube lors de la profession de foi.
C’est un peu, pour certains, comme l’émotion devant l’Enfant Jésus à la crèche, mais après, ça ne prend pas tout l’être et toute la vie…
Alors, il y a les chrétiens pratiquants, et parmi eux, ceux qui vivent la foi avec le coeur et ceux qui la vivent par tradition, habitude, peut-être crainte pour leur Salut avec une longue tradition janséniste.
Il y a 40 ans, je m’étais mise à faire le caté à la demande de mon Curé de l’époque, parce que ma fille était en première année. J’ai donc eu un groupe et j’ai continué. Mais déjà, j’aurais eu très envie de catéchiser les parents qui n’entrenaient rien chez eux, ou même démolissaient ce que les enfants avaient appris. J’entendais à l’époque et c’est toujours actuel : »Maman, elle n’aime pas la messe ». « Papa, il croit pas à la vierge Marie »… « La Création ? c’est de la blague… ».
J’essayais de les faire prier « de l’intérieur », il y a eu des moments formidables, mais cela n’était pas suivi chez eux ni par les catéchistes qui venaient après moi…
Je garde toujours cette soif immense de la mission, mais ce que je peux faire n’est que goutte d’eau dans la mer.
Et j’espère toujours que le Seigneur mettra quelque chose dans ce sens sur mon chemin, mais… je vieillis, j’arriverai Là-Haut sans avoir donné beaucoup de fruits malgré l’ardeur de mes désirs et toute ma bonne volonté.
J’espère dans la prière collective à Notre-Dame de France pour voir tout se relever et Dieu-Trinité régner enfin, avec Elle !
Bonjour Nicole,
Bravo pour votre engagement, et dans tout ce don, il y a forcement au moins une personne qui a eu soif, et qui a été abreuvée. Pour elle, le chemin n’a pas été vain. Nous ne sommes que de tout petits grains de sable, mais ensemble, nous sommes la plage, le désert, les plus grandes constructions. Bien souvent, je me pose les mêmes questions, je me dis que je suis bien inutile. Et je rencontre dans la journée, cette dame, très bourgeoise, qui vient vers moi, tellement seule, et le sourire, les paroles que je lui donne, lui réchauffe le coeur. Cette dame, a peut-être pour fils, un avocat, qui en voyant sa maman plus joyeuse, accomplira une tâche plus juste. Et ce procès, qu’il va gagner, c’est un peu le mien, c’est un peu le votre, mais c’est surtout celui du Christ. Bravo, et la lumière sur votre chemin.
Chère Nicole,
Je me retrouve dans une grande partie de votre lettre;
J’ai fait le catéchisme à un de mes enfants et à qq autres enfants il y a une vingtaine d’années et j’ai été déçue par la faible implication des parents.
Par ailleurs, nos 4 enfants agés aujourd’hui de 35 à 26 ans ont eu la même éducation religieuse que mon mari et moi, de familles pratiquantes, mais on dirait que ça ne les interesse absolument plus, , du style je connais, j’ai fait le tour de la question
J’essaie de connaitre mieux la petite voie de Ste Thérèse et aussi, grâce à la » prière des mères » je remets tout ds les mains du Seigneur, parce que je pense que c’est à nos enfants de se prendre en charge et d’éduquer chrétiennement leurs enfants
Une très grande joie: Ma petite fille vient de faire sa 1ère communion le jour de l’Ascension. DIEU est BON!
Bonjour, moi aussi je souffre beaucoup de voir que nous chrétiens, nous ne savons pas allumer la flamme dans des coeurs pourtant assoiffés, comme tous les coeurs. Autour de moi, dans un lycée catholique, je vois même des professeurs catholiques s’éloigner de l’Eglise, dégoûtés par l’attitude de parents soi-disant « catholiques purs ». Manque de coeur. On oublie de dire ce qui est bien, bon et beau, mais on critique immédiatement quand le professeur fait une faute (aux yeux des parents).
Anticoformistes de l’amour… c’est bien dur parfois! Il faut oser être soi-même dans un monde où tout nous appelle à l’uniformité, à la légalité, au nivellement. Chanter dans les rues, être poète, rire, jouer de la guitare à la sortie des églises, être joyeux enfin! Voilà qui mène à Dieu!
Je souffre, encore de voir les catholiques divisés, de façon très violente parfois. Ceux qui sont d’une paroisse et qui n’apprécient pas ceux de l’autre paroisse, sous des prétextes divers, par exemple des questions de liturgie (guitare? pas guitare? Orgue? pas d’orgue? etc.). On entend des chrétiens « de gauche » très engagés auprès de leurs frères migrants, déclarer qu’ils ne « veulent pas parler » avec les chrétiens « tendance extrême droite », et à l’inverse des « tradis » déclarer que tous les autres sont « impurs », « dans le péché ». C’est tellement lassant… Enfin, il semble que les premiers Apôtres aient déjà connu ça!!! On est humain! Gardons espérance.
Oui bravo pour ces cadeaux à JÉSUS que vous faites. Je me suis battu comme vous et là où il y a l’ennemi c’est que Jésus et sa grâce son présent. Je me souviens d’une fille de 5 ème qui était insupportable au catéchisme, je lui dis de rester après l’heure. J’ai demandé à Jésus d’être présent et j’ai parlé à son coeur, cette fille a changé au point que sa mère m’a téléphoné : « qu’est – ce que vous avez fait à Nelly je ne la reconnaît plus » c’était une conversion complète, Jésus était dans toute sa vie, pour les devoirs la maison le catéchisme. Sa profession de foi à eu du sens…
Edithsjeanne
Soyons rebelles au mal et au conformisme de la pensee unique dans le monde mais aussi dans l’Eglise.
N’ayons pas peur !
Agissons avec l’intelligence du cœur que nous donne Jésus.
Elle est bien cette neuvaine ,j y pense chaque jour et vous lire fait du bien