“Les individus humains ont toujours été capables de rapports plus étendus que les rapports de descendance et de consanguinité, qui sont la base plus ou moins large de la famille.
Mais les conditions mêmes de la vie sur la planète ont rendu impossible jusqu’ici la formation d’une société unique. La terre a été longtemps plus grande que l’homme, et elle a imposé à l’humanité la loi de la dispersion. C’est par groupes multiples, séparés, défiants, souvent ennemis, que la race humaine a dû tout d’abord se constituer.
Les patries, les groupements distincts ont été la condition des groupements plus vastes que prépare l’évolution. Et en chacun de ces groupes une vie commune s’est développée qui garantissait et amplifiait la vie de tous et de chacun; une conscience collective s’est formée en qui les consciences individuelles étaient unies et exaltées. Même pour les exploités, même pour les asservis, le groupement humain où ils avaient du moins une place définie, quelques heures de sommeil tranquille sur la marche la plus basse du palais, valait mieux que le monde du dehors, plein d’une hostilité absolue et d’une insécurité totale.
Pour l’esclave aussi le dur foyer qu’alimentait sa peine avait parfois un reflet réchauffant, une lueur joyeuse, et les ténèbres extérieures l’épouvantaient. L’esclave, dit le grand Homère, n’a que la moitié de son âme, mais cette moitié même il risquait de la perdre en se séparant du milieu social où il avait du moins un abri et quelques liens d’affection réciproque.
A l’intérieur d’un même groupement régi par les mêmes institutions, exerçant contre les groupements voisins une action commune, il y a forcément entre les individus, même des classes les plus opposées ou des castes les plus distantes, un fonds indivisible d’impressions, d’images, de souvenirs, d’émotions. L’âme individuelle soupçonne à peine tout ce qui entre en elle de vie sociale, par les oreilles et par les yeux, par les habitudes collectives, par la communauté du langage, du travail et des fêtes, par les tours de pensée et de passion communs à tous les individus d’un même groupe que les influences multiples de la nature et de l’histoire, du climat, de la religion, de la guerre, de l’art, ont longuement façonné. Même pour se railler, même pour s’outrager, deux individus de classes hostiles, en un même pays, sont obligés de faire appel à des ressources communes. De cette présence en chacun de toute une vie collective, résulte, pour toutes les consciences individuelles, un étrange agrandissement. La multiplication de l’âme individuelle par l’âme de tous…“
Jean Jaurès, L’Armée nouvelle, 1911, ch.10
« …deux individus de classes hostiles, en un même pays,
sont obligés de faire appel à des ressources communes. »
Jean Jaurès, « L’Armée nouvelle. »
LA Très SAINTE VIERGE MARIE
« Chers enfants!
Vous êtes ma force. Vous, mes apôtres,
qui, par votre amour, votre humilité
et votre SILENCE dans la PRIERE,
faites en sorte que mon FILS soit connu.
Vous vivez en moi.
Vous me portez dans votre cœur.
Vous savez que vous avez une MERE
qui vous aime
et qui est venue pour apporter l’amour.
Je vous regarde dans le Père Céleste,
je regarde
vos pensées, vos douleurs, vos souffrances,
et je les offre à mon FILS.
N’ayez pas peur, ne perdez pas espoir,
car mon FILS écoute SA MERE.
Depuis qu’IL est né, IL aime,
et je désire que tous mes enfants
connaissent cet AMOUR.
Je désire que reviennent à LUI
tous ceux qui l’ont quitté à cause
de leur douleur et de l’incompréhension,
et que Le connaissent
tous ceux qui ne L’ont jamais connu. »
« C’est pour cela que vous êtes ici, mes apôtres,
et que moi, comme MERE, je suis avec vous.
Priez pour avoir une FOI FERME
car d’une FOI FERME
viennent AMOUR et MISERICORDE.
Par l’AMOUR et la MISERICORDE,
vous aiderez tous ceux
qui n’ont pas conscience de choisir les ténèbres
au lieu de la LUMIERE.
PRIEZ POUR VOS BERGERS [les prêtres]
car ils sont la force de L’EGLISE
que mon FILS vous a laissée.
Par mon FILS, ils sont les bergers des âmes.
Je vous remercie. »
LA Très SAINTE VIERGE MARIE
à Medjugorje, 2 mars 2015
La Très SAINTE VIERGE MARIE
à Medjugorje (Bosnie-Herzégovine)
« En 1933, pour le 1 900e anniversaire
de la crucifixion de JESUS-CHRIST,
A Jérusalem, les villageois décidèrent d’élever
au sommet du mont Križevac
une CROIX en béton de 8,5 m de hauteur,
au cœur de laquelle il placèrent
un morceau de la Vraie CROIX. »
Wikipedia
« là où se trouve la CROIX de Son FILS,
MARIE est là aussi près de Lui. »
« AGNEAU de DIEU,
qui enlèves le péché du monde,
prends pitié de nous.
AGNEAU de DIEU,
qui enlèves le péché du monde,
donne-nous la PAIX. »
« AGNUS DEI
qui tollis peccata mundi,
miserere nobis.
AGNUS DEI
qui tollis peccata mundi,
donna nobis PACEM. »
« …deux individus de classes hostiles, en un même pays,
sont obligés de faire appel à des ressources communes. »
Jean Jaurès, « L’Armée nouvelle. »
« Pour construire un monde en commun
dans le respect de la diversité,
il faut un DIALOGUE, qui ne doit pas être de complaisance.
La question de la violence de l’islam est une vraie question. »
«L’islamisme est la maladie de l’islam,
mais les germes sont dans le texte»
« Le Coran est ambivalent.
Il y a le verset 256 de la deuxième sourate
qui dit «point de contrainte en religion».
Mais aussi les versets 5 et surtout 29 de la sourate 9,
«le verset de l’épée», où il est commandé de combattre
tous ceux qui ne croient pas à «la religion vraie».
L’interprétation traditionnelle reconnaît cette contradiction
et N’A JAMAIS DIT
que «le verset de l’épée»
abolit «le verset de la tolérance»,
comme le font les intégristes aujourd’hui. »
« Il est dit dans le Coran,
dans un verset célèbre (verset XIV, 39):
« ce que vous avez entre les mains n’est pas le livre
mais seulement une copie,
parce que la mère du livre, c’est-à-dire l’archétype
là encore le Coran se fait platonicien ,
reste dans les Cieux. » »
Abdelwahab Meddeb (1946-2014)
(Libération)
« Allah demande :
« Si tu es dans le doute sur ce qui t’a été envoyé d’en haut,
interroge ceux qui lisent les Ecritures envoyées avant toi. »
(Coran 10 94) »
Viens ESPRIT-SAINT,
« Emplissez la terre entière
de Vos Lumières,
de Vos Consolations
et de Votre Amour ! »
Marthe Robin
« Mon âme s’épuise à désirer Ta Présence, SEIGNEUR;
mon cœur et ma chair sont un cri vers Toi,
ô DIEU VIVANT »
Psaume 83:3
« Louez Le SEIGNEUR,
tous les peuples!
Qu’il est fort, Son AMOUR pour nous:
Le SEIGNEUR est toujours fidèle. »
Psaume 116:1-2
Magnificat
« Mon âme exalte Le SEIGNEUR,
exulte mon esprit en DIEU, mon Sauveur!
Il s’est penché sur son humble servante;
désormais, tous les âges me diront bienheureuse.
Le Puissant fit pour moi des merveilles;
Saint est Son Nom!
Son Amour s’étend d’âge en âge
sur ceux qui Le craignent.
Déployant la force de son bras, IL disperse les superbes.
Il renverse les puissants de leurs trônes,
IL élève les humbles.
IL comble de biens les affamés,
renvoie les riches les mains vides.
IL relève Israël son serviteur,
il se souvient de son amour,
de la promesse faite à nos pères,
en faveur d’Abraham et de sa race, à jamais.
Gloire au PERE, et au FILS, et au SAINT-ESPRIT,
pour les siècles des siècles.»
Amen.
« Le texte du MAGNIFICAT de MARIE,
l’humble servante du SEIGNEUR,
reprend les paroles de plusieurs chants
de l’Ancien Testament
pour en faire le cantique
d’ACTION de GRACE de l’Eglise,
tout au long des générations chrétiennes. »
Notre-Dame de Paris
***
MAGNIFICAT
(mot latin), premier mot du cantique de reconnaissance
chanté par la Très SAINTE VIERGE MARIE
lors de la visite à Sa cousine Élisabeth.
Tout le récit de cette Visitation,
comprenant aussi Son cantique,
se trouve en l’ÉVANGILE de Saint Luc,
au chapitre 1er, versets 39-56. »
magnificat.ca
« …deux individus de classes hostiles, en un même pays,
sont obligés de faire appel à des ressources communes. »
Jean Jaurès, « L’Armée nouvelle. »
« En ces jours-là,
Naaman, général de l’armée du roi d’Aram,
était un homme de grande valeur
et hautement estimé par son maître,
car c’est par lui que Le SEIGNEUR
avait donné la victoire au royaume d’Aram.
Or, ce vaillant guerrier était lépreux.
Des Araméens, au cours d’une expédition en terre d’Israël,
avaient fait prisonnière une fillette
qui fut mise au service de la femme de Naaman.
Elle dit à sa maîtresse:
« Ah ! si mon maître s’adressait
au prophète qui est à Samarie,
celui- ci le délivrerait de sa lèpre. »
Naaman alla auprès du roi et lui dit:
« Voilà ce que la jeune fille d’Israël a déclaré. »
Le roi d’Aram lui répondit:
« Va, mets-toi en route.
J’envoie une lettre au roi d’Israël. »
Naaman partit donc;
il emportait dix lingots d’argent, six mille pièces d’or
et dix vêtements de fête.
Il remit la lettre au roi d’Israël. Celle-ci portait:
« En même temps que te parvient cette lettre,
je t’envoie Naaman mon serviteur,
pour que tu le délivres de sa lèpre. »
Quand le roi d’Israël lut ce message,
il déchira ses vêtements et s’écria:
« Est-ce que je suis DIEU,
MAITRE de LA VIE et de LA MORT?
Ce roi m’envoie un homme
pour que je le délivre de sa lèpre!
Vous le voyez bien: c’est une provocation! »
Quand Élisée, l’homme de DIEU,
apprit que le roi d’Israël avait déchiré ses vêtements,
il lui fit dire:
« Pourquoi as- tu déchiré tes vêtements?
Que cet homme vienne à moi,
et il saura qu’il y a un prophète en Israël. »
Naaman arriva avec ses chevaux et son char,
et s’arrêta à la porte de la maison d’Élisée.
Élisée envoya un messager lui dire:
« VA TE BAIGNER SEPT FOIS dans LE JOURDAIN,
et TA CHAIR REDEVIENDRA NETTE, TU SERAS PURIFIE. »
Naaman se mit en colère et s’éloigna en disant:
« Je m’étais dit:
Sûrement il va sortir, et se tenir debout
pour invoquer Le NOM du SEIGNEUR son DIEU;
puis il agitera sa main au-dessus de l’endroit malade
et guérira ma lèpre.
Est-ce que les fleuves de Damas, l’Abana et le Parpar,
ne valent pas mieux que toutes les eaux d’Israël?
Si je m’y baignais,
est-ce que je ne serais pas purifié? »
Il tourna bride et partit en colère.
Mais ses serviteurs s’approchèrent pour lui dire:
« Père ! Si le prophète t’avait ordonné
quelque chose de difficile,
tu l’aurais fait, n’est-ce pas?
Combien plus, lorsqu’il te dit:
“BAIGNE-TOI, et TU SERAS PURIFIE.” »
Il descendit jusqu’au Jourdain et s’y plongea sept fois,
pour obéir à la parole de l’homme de DIEU;
alors sa chair redevint semblable à celle d’un petit enfant:
IL ETAIT PURIFIE !
Il retourna chez l’homme de DIEU avec toute son escorte;
il entra, se présenta devant lui et déclara:
« Désormais, je le sais:
IL N’Y A PAS D’AUTRE DIEU, sur TOUTE LA TERRE,
que CELUI D’ISRAËL ! »
2ème Livre des Rois 2 R5:1-15a
« Il y avait beaucoup de lépreux en Israël;
et aucun d’eux n’a été purifié, mais bien Naaman le Syrien »
« DESIR DE L’AME »
« MON CŒUR et MA CHAIR sont UN CRI vers Le DIEU VIVANT ! »
Ce verset du Psaume 83 (84)
peut habiter notre prière tout au long de ce jour.
N’est-ce pas ce désir
qui nous rend disponibles à l’inattendu de DIEU,
même si ce dernier nous contraint
à nous « déplacer »
à sortir de nos a priori,
comme Naaman le Syrien ou la Samaritaine?
N’est-ce pas Lui qui nous ouvre à l’autre et au Tout-Autre ?
Alors ne L’étouffons pas,
laissons-Le avoir raison de nos replis,
fissurer nos carapaces.
Ne sommes-nous pas appelés
à élargir l’espace de notre cœur
et à nous ajuster à l’amour infini de DIEU ? »
Sœur Emmanuelle Billoteau, ermite Bénédictine.
Prions en Eglise
« AUJOURD’HUI ECOUTEREZ-VOUS SA PAROLE:
NE FERMEZ PAS VOTRE CŒUR COMME AU DESERT. »
(Psaume 94,8)
« Souvent nous entendons cet appel insistant
du SEIGNEUR en ce temps de CAREME.
Le désert nous confronte à bien des aridités.
C’est un temps de choix:
ou nous nous ouvrons en criant vers DIEU dans la CONFIANCE,
ou nous nous fermons, en récriminant contre DIEU
qui ne nous donne pas ce que nous voulons.
Demandons lui cette GRACE
d’avoir le cœur toujours ouvert,
comme le CŒUR du CHRIST,
toujours confiant en son PERE,
y compris dans nos aridités.
Qu’aucune épreuve,
qu’aucune joie de ce jour
ne ferme notre cœur au SEIGNEUR
qui se tient à la porte qui frappe:
“Si quelqu’un entend Ma Voix et ouvre la porte,
J’entrerai chez lui,
Je prendrai mon repas avec lui
et lui avec moi”.
(Apocalypse 3,20)
Quelle Parole puis-je garder aujourd’hui? »
Prions avec Saint Claude La Colombière
« Ô mon DIEU, il faut que vous nous donniez un autre cœur,
un cœur tendre, un cœur sensible,
un cœur qui ne soit, ni de marbre, ni de bronze;
il nous faut donner votre CŒUR même. »
« JESUS, doux et humble de cœur,
rends nos cœurs semblables au Tien ! »
Père Erwan Simon, maison Saint François de Sales
http://www.sanctuaires-paray.com/paray-2020/
Le mot DIEU résonnait parmi les hommes de nombreuses races et puis vint la cassure… Les sans DIEU pensent que tout peut se construire et se faire sans le créateur. Et là l’ennemi s ‘en donne a cœur joie lui l’auteur du mal et du péché et de nos jours plus que jamais cela continue.J’aime a lire le commentaire de Patric qui nous explique le pourquoi et le comment des choses de ce monde depuis son début. Cela nous permet a nous croyants de ne pas s’arrêter et de continuer a avancer a grands pas avec comme repère l’agneau immolé sans tache, celui qui de par le sein de MARIE s’est fait homme pour nous sauver du péché et du mal en général.
Je vous remercie, Colombe. Et je dis Amen à votre beau commentaire.
Chère Colombe, j’espère de tout cœur que vous alliez bien ❤️
Bonne fin de journée.
Merci ma chère Sylvie. Je lutte avec mes armes la prière,la messe ,etc etc …Et la joie d’avoir des personnes comme vous et Patric. Que DIEU vous bénisse.
Que Dieu vous bénisse aussi Chère Colombe ❤️
Jean Jaurès n’était pas croyant. Sa réflexion a donc forcément des limites. De sérieuses limites même. On peut dire que Jaurès voit l’histoire dans ce qu’on appelle un système clôt, fermé. Alors que nous vivons dans un système ouvert. Pour Jaurès, l’homme évolue dans un monde où Dieu n’intervient pas. Alors que nous savons que Dieu est vivant, qu’il dirige tout par sa Providence. On ne peut comprendre l’Histoire sans Jésus Christ. Tout a été fait par lui et pour lui et rien a été fait sans lui.
Jean Jaurès voit donc l’histoire sans tenir compte de l’Alliance. Et cela est impossible. Ce n’est pas tant les conditions de vie sur la planète qui ont fait que, mais c’est bien l’homme face à son Dieu. Dans le livre de la Genèse, nous apprenons ceci: “Maudit soit Canaan! Il sera pour ses frères l’esclave des esclaves.” Et il ajouta:”Béni soit le Seigneur, le Dieu de Sem! Que Canaan soit son esclave! Que Dieu mette Japhet au large! Qu’il demeure dans les tentes de Sem, et que Canaan soit son esclave.” (Gn 9:24-27). Sem devint Israël et les peuples sémitiques, mais surtout Israël. Japhet peupla l’Occident et Cham l’Afrique. Canaan, fils de Cham, est maudit. Canaan symbolise les ennemis de Dieu et de son peuple qui seront vaincus. Japhet,lui, symbolise les nations qui iront au large, puis reviendront dans les tentes de Sem, il s’agit de l’Eglise composée de Juifs et de non Juifs. Tout cela pour vous dire que l’histoire des nations ne peut être comprise sans Dieu et sans ses promesses, dont la venue d’un Sauveur.
Les descendants de Japhet et de Cham ont peuplé la terre, en s’éloignant de Sem, ils se sont aussi éloignés de la vraie religion, celle que pratiquait leur père Noé. Même les fils de Sem, sauf exceptions (exemple Job et Melchisedek) s’éloignèrent de la pure religion. Abram, lorqu’il est appelé à quitté son pays, on voit que le peuple a des idoles mélangées au vrai culte. Et le peuple de l’Ancienne Alliance, aura toujours cette attirance pour l’idolâtrie. Ainsi les religions dans le monde ancien sont des déviations de la religion véritable dite noachique. Cette religion véritable comprenais la promesse de la venue d’un Sauveur. Comme toutes les religions anciennes étaient des déviations de la véritable, on comprend les ressemblances entre elles. Lorsqu’on étudie l’histoire on ne peut pas la faire à la manière des historiens athées ou agnostiques. L’histoire des hommes est en lien étroit avec le Dieu de l’alliance qui a fait des promesses. Promesses que les peuples ont retenues, puisqu’à la naissance de Jésus. A l’époque où Jésus est né, l’attente d’un Sauveur était mondiale. Oui, une conscience collective s’était formée dans les nations, eh oui, dans cette conscience, il y avait cette espérance en la venue d’un rédempteur. Le diable, car il ne faut pas l’oublier celui-là, a bien essayé d’éloigner les peuples de Dieu, le plus possible. Avant la venue du Christ, il tenait les nations sous son joug, mais il n’a pu effacer toute trace de la promesse divine.
Dans ce fond indivisible d’impressions, d’images et d’émotion, il y avait le souvenir que Dieu a tout créé et qu’un jour viendra un Sauveur. Comme le dit Lacordaire, l’humanité est croyante. Elle croit en Dieu, pas toujours de la bonne manière, ceci à cause du coeur mauvais de l’homme, mais elle est croyante, les religions le prouvent. Cependant, seul Sem sert Dieu comme Dieu le veut. Sem qui deviendra Israël, le peuple de Dieu de l’Ancienne Alliance, qui mettra au monde le Messie, par la Vierge Marie. Ce Messie c’est Jésus qui, élever sur la Croix attire tous les hommes à lui. C’est l’Eglise composée des fils de Noé réunis à nouveau en un seul troupeau avec un seul berger, dont le Souverain Pontif est le représentant. Jésus dit à saint Pierre: “Sois le pasteur de mes brebis”.
Ainsi la conscience collective a au plus profond d’elle même, les vérités de la foi inscritent en elle. Et si ces vérités ne sont pas occultées par la non foi, il en résultera vraiment, pour toute conscience individuelle, un véritable agrandissement. Mais si nous rejetons les vérités de la foi, celle de nos pères, nous verrons un rétrécissement, ce que nous constatons déjà dans la pensée de Jean Jaurès, mais d’une manière plus grave aujourd’hui En France ou ailleurs dans le monde: une conscience rétrécie, une ignorance désastreuse.
Oui Cher Patric, les consciences dans de nombreux pays rétrécissent. Ma famille aux USA et une amie au Japon, le déplorent également!
Prenez bien soin de vous Cher Patric. Bonne soirée
Bonjour chère Sylvie. Merci pour ce témoignage important. Prenez, vous aussi, bien soin de vous. Passez une bonne et sainte journée, sous le regard de la Vierge Marie, notre divine Mère.