Rappelle-toi, Jeanne, de ta patrie !…
Rappelle-toi de tes vallons en fleurs !…
Rappelle-toi la riante prairie
Que tu quittas pour essuyer mes pleurs !!!…
O Jeanne ! Souviens-toi que tu sauvas la France
Comme un ange des Cieux tu guéris ma souffrance
Ecoute dans la nuit
La France qui gémit
Rappelle-toi !…
Rappelle-toi, Jeanne de tes victoires
Rappelle-toi de Reims et d’Orléans
Rappelle-toi que tu couvris de gloire
Au nom de Dieu, le royaume des Francs !…
Maintenant, loin de toi, je souffre et je soupire
Daigne encor me sauver !… Jeanne, douce Martyre !…
Oh ! Viens briser mes fers !…
Des maux que j’ai soufferts
Rappelle-toi !…
Jeanne
O France !… O ma belle Patrie !…
Il faut t’élever jusqu’aux Cieux
Si tu veux retrouver la vie
Et que ton nom soit glorieux.
Le Dieu des Francs dans sa clémence
A résolu de te sauver
Mais c’est par moi, Jeanne de France
Qu’il veut encor te racheter
Viens à moi
Patrie si belle
Je prie pour toi
Ma voix t’appelle
Reviens à moi.
(…)
Non, je ne veux point ceindre mon front du diadème de France…
laisse-moi le placer sur le tien, puisque désormais tu seras digne de le porter !…
La couronne des vierges me suffit et je ne veux pas d’autre sceptre que ma palme, car si je suis honorée dans le Ciel, ce n’est pas pour avoir été une illustre guérrière mais parce que j’ai uni la virginité au martyre !…
Maintenant je veux que mon étendard soit le tien. (saint Michel le présente à Jeanne qui le donne à la France)
N’est-ce pas Jésus et Marie qui t’ont sauvée ?… L’auguste Reine du Ciel n’est-elle pas descendue trois fois de son trône afin de t’inviter à faire pénitence, et n’est-ce pas le monument splendide qui s’élève sur une de tes collines à la gloire du Sacré Coeur qui t’a mérité la grâce que tu reçois en ce jour ?…
Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus et de la Sainte Face, « Jeanne d’Arc accomplissant sa Mission », représentation donnée le 21 janvier 1895 pour la récréation de la communauté du Carmel
Gardons espoir et confiance dans le Dieu très clément! Portons sereinement nos croix de la Foi en la Vierge Marie, Jeanne d’Arc, sainte Thérèse et combien d’autres… Participons à la neuvaine pour sauver la France!
France du Paraclet. France de Notre Dame.
Reine des derniers temps l’univers te réclame.
De tout son corps blessé il implore secours
sans vouloir néanmoins confesser ton recours.
Ô France, ma raison, souffle aimé de ma vie,
mon âme à ta mission librement asservie
se révolte, s’émeut, s’inquiète, et, cependant
se nourrit chaque jour d’un espoir transcendant.
L’espoir des affamés d’amour et de justice
qui transmue en réel le rêve ou le factice.
Mon âme se confond, ô ma France au sang bleu,
avec ton âme qui se confond avec Dieu.
Pour te mieux protéger en l’orage qui gronde,
ton chantre, le plus grand, a dû quitter ce monde.
Très peu ont « entendu » son poème inspiré.
Mais qu’importe le vent… si le grain est semé.
France, ton troubadour abordant d’autres rives,
son esprit s’est ouvert à d’autres perspectives.
Sa voix, plus ample, aussi plus subtile à la fois,
se confond maintenant avec ta propre voix
qu’exceptionnellement, selon les temps, tu prêtes
à certains missionnés, soldats, saints ou prophètes.
Cette voix couvrira au moment opportun
le concert dissonant d’un orchestre où chacun,
au rythme de Satan, pour son compte improvise
des hymnes au plaisir où la muse érotise.
Oui, qu’importe le vent… si le grain est semé.
Tes entrailles, ma mie, en toi l’ont enfermé.
À terme il germera, abreuvé par les larmes
des rescapés du feu, du mensonge et des armes.
France, tu nourriras l’univers affamé.
Que t’importe le vent… ton grain est bien semé.
Qu’importent les censeurs aveuglés par la haine,
les tribuns éloquents au verbe qui s’enchaîne
à ta démagogie où viennent se piéger
ceux pour qui la « patrie » est un terme étranger.
Qu’importent tes enfants, France, s’ils sont prodigues,
et qu’ainsi du chaos ils ouvrent grand les digues.
Qu’importent tous ceux-là, qu’importe tout cela.
Ma France, tu vaincras ce moderne Attila
qu’est pour l’homme abusé, l’ère matérialiste
maquillant ton génie en gnome progressiste.
Ce génie, en ton sol, incarné à jamais ;
ce phœnix renaîtra dans le cœur des Français
lorsque ceux-ci auront subi mille souffrances,
mille désillusions, mille désespérances.
Tes filles et tes fils consolés en ton sein,
France, découvriront alors ton grand dessein.
Le même que celui de Marie, notre Mère,
qui a sa maison-dieu à Paris. Ce mystère
devrait ouvrir l’esprit, les yeux, l’âme et le cœur
du sectaire agrippé aux rets de son erreur.
Je crois en ton destin, France, ô ma noble dame.
Déployé dans le ciel ainsi qu’une oriflamme,
je vois danser ton nom dans le souffle divin
du chant des séraphins le répétant sans fin.
Que n’ai-je le pouvoir, une seconde même,
de faire entendre à tous ce chant d’amour suprême.
Alors j’ose espérer, naïf, qu’il adviendrait
une foi sublimée en l’âme des Français.
La foi en la mission de la mère patrie
perpétuant pour nous Notre Dame Marie.
France du Paraclet. France de Notre Dame.
Phare des derniers temps, l’univers te réclame.
De son corps naufragé il implore secours
sans vouloir néanmoins confesser ton recours.
La tempête, déjà, engloutit ses victimes.
La terre va subir ses épreuves ultimes.
L’homme, apprenti sorcier, ne peut plus retenir
le flot de ses passions noyant son avenir.
Le bateau-univers ne conduit plus sa marche.
Il est temps de songer à Noé, à son arche
qu’un pragmatisme étroit relègue avec dégoût
parmi les contes sots ou à dormir debout.
France, ma douce aimée, au ciel de ta croisade
tu verras se lever, signant une ambassade,
le soleil irradiant du divin Paraclet
porté par Galaad, le chevalier secret,
qui sera conseiller du futur « grand monarque ».
Ensemble ils sauveront une christique barque,
que pilote et marins sabordent aujourd’hui
prétendant rénover ce qui a mal vieilli.
Et moi qui ne suis rien, rien qu’un cœur de poète,
peut-être, malgré moi, suis-je un instant prophète.
Si ce long cri d’amour, France, est raillé, déformé,
que m’importe le vent… si mon grain est semé.
PERONIC
1970
Magnifiquue de profondeur,de poésie et de spiritualité !!!
Merci pour votre si beau poème,troubadour Péronic.
En union de prière.
Jeanne.
Saint Ange , carme d’origine juive , mort martyr en 1125
“Un roi s’élèvera finalement de l’antique race des rois de France , d’une insigne piété envers Dieu .
Il sera honoré par les princes chrétiens et dévoué à la foi orthodoxe ; il sera aimé d’eux et sa puissance s’étendra au loin sur la terre et sur la mer .”
“Alors l’église , étant comme retirée d’une certaine destruction , ce Roi s’unira au Pontife romain et le soutiendra . L’erreur sera détruite parmi les chrétiens;l’église sera rendue à l’État que les bons ont choisi pour elle .”
“Il enverra une armée à laquelle s’uniront spontanément de nombreux guerriers , s’élançant au combat pour l’amour de mon Nom ; l’amour de la croix qui les transportera leur obtiendra de trophées dont l’éclat s’élèvera jusqu’au ciel .Un monarque , equipant bientôt une flotte , passera les mers , rendra à l’église les contrées perdues .Il délivrera Jérusalem .”
Saint Michel arbore en triomphe la croix , symbole de la victoire . C’est lui qui a écrasé la tête du cruel dragon et l’a précipite au fond de l’enfer et du haut de la Cité Celeste foudroie Satan avec tous ses satellites .
O Croix bien-aimée , reste sur mon coeur pour compter ses pulsations et les diriger vers le Ciel!
Sois mon guide , mon défenseur , ma consolation et prêche-moi toujours l’immense amour de mon Dieu .
…« Elle entrera, la nation juste, qui se garde fidèle.
Immuable en ton dessein, tu préserveras la paix,
la paix de qui s’appuie sur toi.
Prenez appui sur le Seigneur, à jamais, sur Lui, le Seigneur, le Roc eternel. »…
Prophète Isaïe (26, 1-6) : lecture d’aujourd’hui
« JESUS, j’ai confiance en toi » (Sainte Faustine, Pologne)
« O MARIE, conçue sans péché, priez pour nous
qui avons recours à vous »
Jeanne d’arc et Thérèse deux grandes saintes que je prie en effet j’habitais pas loin de Domrémy et je vais régulièrement a Lisieux Je suis émerveillée de voir combien Jeanne s’est offert pour notre France jusqu’au martyr et toujours avec DIEU devant elle et Thérèse docteur de l’église qui a interprété son rôle avec joie et amour en pensant a notre France…Oui demandons très fortement l’aide de ses deux saintes pour notre pays et surtout l intercession de la Sainte vierge Marie et de saint Michel.Archange Et comme un poumon a bout de souffle, ainsi va notre France, mais gardons l’espérance de jours meilleurs et le souffle de L’esprit Saint lui redonnera de revivre un jour. Surtout ne pas désespérer et prier tout simplement
je pense aussi que nous nous sommes trop éloignés de notre père du ciel,et nous voilà dans de grandes difficultés la France souffre mais gardons espoir et prions encore plus pour combler le vide laissé par le manque de confiance
Jeanne d’Arc et Sainte Thérese :
« O France !… O ma belle Patrie !…
Il faut t’élever jusqu’aux Cieux
Si tu veux retrouver la vie…
…j’ai uni la virginité au martyre !…
…Saint Michel présente l’etendard à Jeanne qui le donne à
la France…….
…N’est-ce pas Jésus et Marie qui t’ont sauvée ?…
…pénitence…
…gloire du Sacré Coeur …la grâce
que tu reçois en ce jour ?… »
Merci
«Que l’Éternel te bénisse, et qu’Il te garde!
Que l’Éternel fasse luire Sa face sur toi, et qu’Il t’accorde
Sa Grâce!
Que l’Éternel tourne Sa face vers toi, et qu’Il te donne
La Paix! »
Nombres 6:24-26 Louis Segond (LSG)
Souvent je dis aux français: “Sil la France va si mal aujourd’hui, c’est qu’elle a un problème de Coeur. De deux Coeurs en fait, deux Coeurs qu’elle refuse obstinément pour guérir: Le Sacré-Coeur de Jésus et le Coeur Immaculé de Marie.” Sainte Jeanne d’Arc, Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus, priez pour la France.